Gestion de crises
CONSTAT : Les expatriés sont malheureusement confrontés à des incidents critiques souvent plus forts et plus fréquents que dans leur pays d’origine: accidents de voiture violents, violences urbaines, coups d’états ou violences politiques, cambriolages à main armée, témoins d’assassinats...
Ils y réagissent le plus souvent avec toute la motivation nécessaire. Mais l'événement peut laisser des traces indélébiles qui les affecteront durablement, eux et leur famille sur les plans personnels et professionnels.

CONSÉQUENCE:
L'expérience prouve qu'une personne se remet d'aurtant plus vite que 1) l’entreprise montre qu’elle se sent concernée par ce qui se passe (et qu’elle envoie du support), 2) l’équipe de gestion de crise arrive dans les 24h ou 48h après l’incident, 3) qu’elle possède les outils spécifiques de gestion d’une telle crise.
C’est ce que notre équipe vous propose.

DESCRIPTION DE L'INTERVENTION:
Une gestion de crise se gèrent soit dans le pays d’accueil (lorsque les personnes touchées sont nombreuses et d’horizons géographiques différents, ou destinées à rester dans le pays d’accueil), soit au retour (souvent anticipé) dans leur pays d’origine.
Dans le premier cas, l’équipe de gestion de crise part dans les heures qui suivent l’incident critique. Sur les lieux, elle va gérer le temps en trois parties :
• Prise de connaissance des fait et personnes impliquées.
• Débriefing émotionnel en groupe des expatriés et/ou du personnel national (en fonction du type d’incident)
• Débriefing émotionnel individuel en fonction des besoins.
• Séances de coaching pour remise en route rapide des opérations post-crise.

DUREE DE L'INTERVENTION :
En moyenne entre 2 et 5 jours selon la taille des équipes à gérer et l’importance de l’incident.

APPROCHE PRATIQUE :
L’approche de gestion de crise est empruntées à celle qu’utilisent les humanitaires sur ses terrains de pars le monde. Elle continue de faire ses preuves (malheureusement...) plusieurs fois par an.
Elle utilise des principes de débriefings spécifiques ainsi que des outils empruntés au registre des thérapies brèves.